(Partie I) Derniers instants au BEGON

† Mastor † Nombre de messages : 424 Date d'inscription : 13/10/2004

Un corbeau fit irruption dans la salle de réunion, profitant de la porte laissée entre ouverte. L'animal tourna en rond en long moment, semblant observer un à un les membres du BEGON avant de se décider à se poser près de Blodseng. Accroché à l'une de ses pattes se trouve un petit parchemin contenant quelques lignes manuscrites, où le ton de l'auteur était reconnaissable entre tous.

Salutations Suceur de cadavres !

Quand tu recevras ce message, je serais très probablement en grande discussion avec ta Nemerdeth, et me connaissant, cette entrevue va rapidement dégénérer, aussi je suggère que toi et ta petite bande de camarades vous mettiez au travail dès réception, elle ne mettra pas longtemps avant de retourner auprès de son "culte".

Amusez vous bien !

Ton idole,
Heroneus

Blodseng referma le parchemin, un léger rictus au niveau de la mâchoire, découvrant légèreent ses cannines

Saloperie de plumé prétentieux, il l'a fait ...
Esperons juste pour lui que ca ai fonctionné ...

L'esprit perturbé, il s'engagea dans la long couloir menant à la salle principale de l'antre du BEGON, pour rejoindre les membres qu'il avait laissé depuis depuis un moment déjà.

Une fois arrivé dans la salle, il croisa les regard un par un, traquant le doute et la peur pour décider qui serait amené à rester.
Ses yeux finirent leur trajet se posant sur Amélia, gagnant une force suplémentaire à celle avec laquelle il regardait ses frères d'armes.

** Il est temps ... **

la voix grave résonna dans l'esprit de tous les BEGOns présents, et des éventuels retardataires

Amélia ne mit pas longtemps à apparaître près de Blod, ses yeux n’avaient pas changés, ils paraissaient toujours aussi mort…
Sa robe noire avait une certaine bruyance à un endroit, on devinait facilement que la boule d’énergie que Dust lui avait fourni si trouvé sous bonne garde.

-Je suis la première ?
-ça y est le moment est arrivé ?
-Sais-tu qui vient avec nous et comment nous y allons ?

Elle débita ainsi plusieurs questions qui en disait long sur son état de nervosité, d’anxiété mêlé a une certaine excitation et colère.

Elle se lia aux pensées de Blodseng pour appeler les autres BEGON

**Frères d’armes, l’heure est arrivée, rejoigniez-nous**

† Instructor † Nombre de messages : 210 Date d'inscription : 05/09/2005

Une ombre de grande taille entra dans la salle. Un regard d'acier balaya les lieux, prennant son temps, puis l'homme sorti enfin de la pénombre. La timide lueur de la pièce dévoila sa longue chevelure argentée et l'expression froide de son visage.

L'ange déchu Delacroix était drappé dans un long manteau sombre, mortellement sérieu et grave, comme à son habitude.

Il avait perçu le message de Blodseng et Amélia. Beaucoup auraient pu dire que cela n'était pas son combat, et ils auraient certainements un peu raisons, sa haine ne se portant que sur les humains et les anges. Mais il n'était nullement dans ses habitudes de laisser tomber ceux qui pouvaient avoir un minimum confiance en lui.
Les menbres du Begon étaient maintenant ses frères d'armes, il ne les décevrait pas.

Il se présenta de sa haute stature devant le couple.

N'étant que peu doué pour les discours il se contenta d'une simple phrase.

"Blodseng, Dame Amélia, Vous n'aurez qu'a désigner le lieu et les cibles..."

Tarnotah était allongé sur sa paillasse, les yeux dans le vague quand il perçut l’appel d’Amélia. La bataille à laquelle le Bégon s’était préparé depuis plusieurs jours maintenant allait commencer. Il attendait de pouvoir se battre avec impatience, et pourtant le combat qui s’apprêtait lui laissait comme un mauvais pressentiment ; Une impression irrésistible que les choses allaient mal tourner.

Toujours allongé, Tarnotah répondit à l’appel d’Amélia :
*** Je… Accordez moi un instant et je serai là ***

Il s’assit sur le bord de sa paillasse, secouant la tête pour chasser les idées qui lui trottaient dans l’esprit. Puis il se leva lentement et se dirigea vers le bureau où étaient posé ses affaires. Il enfila son plastron de cuir, et ceignit Malédiction à sa taille. Il plaça bien en évidence le Blason des Bégons sur sa poitrine.

Il allait sortir quand une idée lui traversa l’esprit. Il se retourna et se dirigea vers son coffre où il stockait ses affaires. Ce coffre était la seule chose qu’il avait héritée de son père. C’est ce coffre que Tonton Borgh lui avait remis quand il avait été en age de se battre et dans lequel il avait trouvé Malédiction. Il ouvrit le coffre et fouilla dedans. Il sortit sa paire de jambière qu’il n’avait que rarement mis et les enfila. Il attrapa sa flasque remplie d’un alcool que Tonton Borgh avait fait quelques années auparavant et la mit dans une des poches de son plastron.
Il prit ensuite deux poignards : un qu’il glissa à sa ceinture un autre qu’il cacha dans sa jambière. Il hésita un moment mais fini par prendre son arbalète et son jeu de 10 carreaux qu’il plaça en bandoulière. Il fouilla encore un peu puis referma le coffre. Il prit enfin son bouclier qu'il accrocha dans son dos ( Wink

)

Il vaut mieux être prudent ! Au moins je serai bien équipé !

Il se dirigea vers la sortie, s’arrêta à deux pas de la porte et réfléchit 3 petites secondes :

Après tout… ça ne coûte rien et ça peut rapporté gros.

Il retourna près de son bureau et attrapa un petite bourse contenant semble-t-il un objet sphérique. Il attacha la bourse à sa ceinture et sortit rejoindre les autres.

En appel pressant d'Amélia atteint 2St dans le néant des limbes où il restait quand il n'avait rien à faire.

Il provoqua une fluctuation de ce néant pour faire apparaître une sphère spatiotemporelle puis s'y injecta...

Il suivit la pensée qui l'avait activé pour rejoindre Amélia.

Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 31/10/2005

Erwan entra dans la pièce, il regarda les membres du BEGON présents et les salua tous un par un

Euh, Dame Amelia, pourquoi cet appel?

Erwan était tranquillement sous la douche avec ses armes qu'il faisait reluire (chacun ses petits plaisirs) quand il avait recu l'appel.
Il avait vite séché ces dernières et avait mis sur son corps encore tout mouillé les vêtements pour se rendre au point de rencontre. Quand il se mouvait ses rangers faisaient "PLOF PLOF", mais au moins il était là et pas en retard.

En retard, Néo l'était toujours un minimun, histoire de se faire légèrement désirer, malgré tout cette fois il n'était pas le dernier. Il était déjà prêt depuis un bon moment, et avait revêtu pour l'occasion une jolie combinaison d'un blanc immaculé avec baskets assorties. Il portait ses deux flingues et son katana à la ceinture, ainsi qu'une bonne dizaine de chargeurs neufs. Peut-être que les armes à feu seraient inefficace, mais partir sans lui aurait été inconcevable, d'ailleurs il avait même ajouté à son artillerie un fusil à pompe qui était attaché le long de sa cuisse droite...

Quand il pénétra dans la salle, il s'attarda longuement sur l'équipement de Tarnotah, un sourire rassuré se dessinant alors sur son visage, qui au contraire d'une Amélia nerveuse, reflétait sa sérénité à croire que le coté inconscient de sa soeur avait déteind sur lui...

Bon alors ça roule les jeunes ? Hum ... Amélia, Blod.

*Orokum entra à son tour dans la salle. Plus qu'en retard, comme à son habitude, il avait à peine eu le temps de terminer son petit repas ! Une pupille d'humain était resté coincé entre ces dents, et il faisait des grosses mimiques de visage pour la récupérer avec sa langue.*

J'ai entendu l'appel !

*Et comme à son habitude :*

Ques qui se passe ?

Balbéro était dans une petite pièce, assise en tailleur à même le sol, les yeux fermés … une fois n’est pas coutume, elle méditait, se concentrant sur le combat à venir.

L’appel, enfin. Les deux voix se mêlèrent aux pensées de la démone qui se leva lentement et aspira au creux de ses mains les flammèches l’entourant. Dans l’obscurité de sa chambre, elle se prépara, prenant ses deux étranges épées qu’elle plaça à l’intérieur de sa longue veste, enfila ses rangers, cachées sous une robe en tissu épais, qui paradoxalement était l’habit qui lui convenait le mieux dans un combat.

Elle arriva dans la salle, à la suite d’Orokum, le regard perdu dans ses pensées et le visage impassible, très loin de la mine sadique qu’elle arbore avant d’aller jouer avec des humains.

Elle s’adossa à un mur, levant son regard vers Blod et Amélia, leur signalant sa détermination d’un signe de tête discret.

Nombre de messages : 169 T'es où ? : Nozgo Date d'inscription : 17/02/2005

**Et si ça marchait seulement les jours de pleine lune... ou les jours pairs... ou si ça marchait en pointant la paume du pied et pas celle de la main... ou seulement avec 3 décalitres de bière dans le sang... oh, fais chier! j'suis p'tet pas fait pour ça...**

Sly' était face à son verre, un livre épais en guise de sous-bock. La tranche portait l'inscription "Télékinésie". Il but une gorgée et s'apprêtait à la savourer délicatement en la faisant murir sous sa langue quand une pensée l'effleura.

Branle-bas de combat! agent Sly', au travail!

Il laissa son verre sur place, jeta le livre dans un coin et partit vers l'autre.
**Ma cape et mon couteau. pour ne pas dire...**
Il jeta un oeil dans l'autre coin, celui où son livre s'était enfui.
**Peut être que... ce serait plus sage de s'équiper un peu plus.**
Il sortit du Brodi, entreprit un détour pour saisir une arme. Il n'aimait pas s'en servir. Elle n'aimait pas qu'il se serve d'elle. Et pourtant...

Il arriva dans la salle. Plusieurs BEGONs étaient déjà là. Il salua. Puis il présenta son arme, un tube de métal long d'1m, aux reflets bizarres.

Je suis du voyage... et j'ai pensé qu'elle pourrait être utile. Elle s'appelle Braise. Je ne peux pas prendre seul la décision de l'emporter. C'est une sorte de lance-flammes, qui n'obéit qu'à moi... mais qui est très susceptible. Il m'est arrivé d'en perdre le contrôle et... elle crache du feu sur n'importe quoi... je ne l'ai jamais utilisé en combat... c'est un prototype puissant mais...

Il regarda Braise, puis les autres d'un air gêné.

...sinon, je m'débrouille avec les mains.

Le Hurleur entra juste derrière Slysern. Il fut intéressé par le bâton de feu de Slysern, car lui pouvait jouer avec le feu et se transformer en une sorte de phoenix démoniaque...

RRRRRRrraaaaahhhh
Bâton de feu !
Ca c'est c'est super !
Tous les deux
On fera l'Enfer !
RRRaaaaahhh

Il se mit à tourner autour de Slysern et de son bâton magique. Si on le laissait venir et qu'on acceptait que le Brodifacum reste sans surveillance, il espérait être d'une aide précieuse. Au moins il pourrait assourdir et rendre fou les ennemis de ses cris et insultes...

† Mastor † Nombre de messages : 424 Date d'inscription : 13/10/2004

Blodseng restait imperturbable au milieu de la salle, espérant l'arrivée de chaque BEGON, quand Amélia fit son apparition à côté de lui. Le regard vide de la vampire déstabilisait Blod, habitué à se fondre dans les émeraudes qui se présentaient le plus souvent à lui.

Tu es la première, mais ils ne devraient pas tarder. Le moment de partir est effectivement arrivé, et nous verrons dans les prochaines minutes qui sera du voyage. Quand au moyen de locomotion ... Tu le découvrira en moment voulu ...

L'arrivée des volontaires avait été rapide, peut-être même plus qu'il l'aurait espéré. Le regard du vampire les croisait chacun tour à tour, à la fois gratifiant et reconnaissant ; il acquiesçait silencieusement aux interpellations qui s'adressaient à lui.

Après quelques minutes d'attente, il s'assura de l'état physique d'Amélia, avant de se séparer d'elle pour avancer vers Delacroix, s’arrêtant juste devant lui, katana à la main.

Tu as toutes les chances aujourd’hui de montrer ta loyauté envers la faction, et envers ses dirigeants. C’est ton existence que tu mets en jeu face aux membres du culte, et la seule garantie que je ne puisse te donner ne sera qu’éphémère … Blodseng découvrit son torse, puis la lame qu’il portait à la main … et aura un prix, que je payerais pour toi …

D’un geste lent, il posa le métal sur sa peau, glissant lentement pour entailler celle-ci, recueillant d’une main plus basse le filet de sang qui s’en écoulait. Les yeux fermés, appelant dans un langage étrange certaines forces à l’origine obscure, le vampire ne semblait pas perturbé par la douleur.

La tâche écarlate devenue mince couche grandissante se mû, prenant goutte par goutte dans la main de Blod pour former un solide à la forme d’un glyphe inconnu, qui disparu pour réapparaître dans la main de l’ange. Il s’adressait maintenant à lui suffisamment fort pour que tout le monde entende clairement

L’enveloppe est impénétrable, mais si tu prononces mon nom en la déposant sur une plaie profonde faite par un membre du culte, cette poche te soignera de mon sang. C’est malheuresement le seul moyen de guérir les plus graves blessures qu’ils prodiguent.

Croisant le regard de Delacroix, Blodseng avança vers Tarnotah

Je vois que tu t’es bien équipé, Tarnotah… un regard vers le bouclier … belle pièce ! j’espère qu’il te servira … tout comme j’espère que mon sang n’aura pas à t’être utile, même si tu le mérites amplement …

Un autre geste précis tailla une autre entaille dans la poitrine du démon, répétant le même scénario que quelques secondes auparavant, pour tendre le glyphe rouge au démon, avant de se diriger vers Dust

Content de te voir avec nous, serviteur d’IEO. Aussi immatériel que tu puisses être, je crois que tu auras autant besoin de ce que je peux te donner que le plus matériel d’entre nous. Espérons que tu trouvera un moyen de l’utiliser…

Le geste que le démon venait de répéter pour la troisième fois fit naître un rictus de douleur à peine visible au coin de ses lèvres, alors que le glyphe de sang flottait dans les airs entre lui et DustMuppet, rejoignant ce dernier.

La présence d’Erwan le surprit quelque peu, mais il cacha sa surprise pour afficher le bon côté que celle-ci lui apportait

Plaisant de voir que le sentiment d’appartenance à la faction prends le dessus quand celle-ci le nécessite. Je te remercie d’être ici. Accepte ceci comme un gage de notre confiance en toi.

Le rictus de douleur se fît légèrement plus remarquable lors de la quatrième échéance de son geste, restant toutefois relativement discret, alors qu’il faisait apparaître le glyphe dans la main du démon

Son arrivée devant Néo fût accompagnée d’un léger sourire, contrastant avec son visage préoccupé

Je ne doutais pas du fait que tu viendrais, bizarrement. Peut-être que malgré ce qu’il a pu se passer, je n’ai jamais douté de ta loyauté envers la faction, ni de celle envers Amélia … ou moi-même…

Le cinquième geste, plus rapide et puissant, ne se montra pas sur le visage du vampire, qu’il avait voulu garder ferme

Garde ça … il pointa le katana de Néo du boût de la lame du siens, réagissant comme en symbiose … Ca pourrait t’être utile …

Faisant parvenir le glyphe au creux de la main de Néo, Blodseng quitta fermement son regard, pour se diriger vers Orokum

Vieux frère, content de te voir ici avec nous … Je ne mettrais pas tes capacités au combat en doute, mais accepte ce qui pourrais sauver la mise un peu plus tard… Pour ce qui est de savoir ce que nous allons faire, nous t’expliqueront sur place.

La sixième entaille dans le torse du vampire lui arracha un léger râle de douleur, alors qu’il formait le glyphe qu’il offrit à Orokum, quittant le démon asexué pour avancer vers Balbéro

Eh bien, toujours aussi sérieuse … C’est appréciable, d’autant que nous avons pu compter sur toi jusqu’à aujourd’hui. Ne voit pas une faiblesse dans la sécurité que je vous fait parvenir à tous, mais plutôt un moyen de mettre tes forces encore plus en avant. Je ne doute pas des résultas.

La lame étrange du katana de Blodseng s’entourait un peu plus d’un léger halo argenté, alors qu’il traçait une septième ligne sur son corps. La douleur précédente avait rendu la blessure plus profonde, bandant inconsciemment les muscles lors de l’entaille. Il tendit la glyphe à Balbéro les canines dépassant légèrement, le visage quelque peu plissé.

J’espère que tout ça n’aura pas été vain …

La huitième incantation fût plus rapide, comme précipitée, mais tout aussi efficace. La douleur n’était pas de mise à un moment comme celui-là, aussi allait t’elle rapidement disparaître. Il fallait juste finir les incantations, avant que ses pouvoirs ne demandent plus encore

Slysern, toujours fidèle aux rassemblements de la faction à ce que je vois. Je ne t’ai pas encore vu manquer un moment important de la faction ; ton assiduité te sera remerciée, d’une manière ou d’une autre. Merci d’accepter la protection que je peux t’offrir.

Le glyphe formé apparût dans la main du démon, alors que Blodseng retournait aux côtés d’Amélia, rengainant sa lame, recouvrant son torse à nouveau. Il la prit dans ses bras quelques instants

Reste près de moi ma douce, et je te protègerais … Pas besoin de glyphe pour toi, tu auras autant de mon sang qu’il te sera vital d’avoir …

Le vampire glissa une main sous son T-shirt, pour recueillir un peu de son sang et le déposer sur le front de la damnée. Il rejoint ensuite le centre de la salle, croisant du regard chaque individu présent, les invitant à prendre le glyphe dans leur main par télépathie. Quelques mots dans la même langue incompréhensible que celle qu’il avait utilisé plut tôt, et l’ensemble des BEGONs présents disparurent l’espace d’une seconde pour réapparaître à l’entrée de l’antre de Nemerdeth, avec pour seul reste du voyage une impression étrange d’avoir été la cible d’une magie malsaine et puissante

[HRP : Je n’ai pas laissé le temps aux réactions pour que l’on puisse continuer sur l’autre sujet, mais rien ne vous empêche, au contraire, je vous invite même à écrire ici les réactions de vos personnages, pour ensuite tout réintégrer à la bonne place lors de la transformation en chronique ]

Quand Blodseng s'écarta d'Amélia après toutes ses minutes d'attente, le démon l'observa suivant attentivement ses faits et gestes. C'est avec le regard emplit de curiosité qu'il le vit créer un à un les glyphes avec son sang jusqu'à ce que soit à son tour d'en obtenir un...

Même si ce que faisait le vampire l'intrigué, Néo ne le montra pas et garda son attitude détendu face à ses dires. Il fut presque amusé de la non réaction de Blodseng qui réalisait sans broncher le cinquième geste, comme pour ne surtout pas succomber à sa douleur face à lui...

J'ai peut-être du mal avec l'autorité, mais jamais je n'ai souhaité abandonner le Begon, et surtout pas dans un moment pareil.

Il resserra sa main sur le glyphe et jeta un oeil sur son katana, acquiescant de la tête aux recommendations du vampire avant que celui-ci continue sa distribution...

Amélia voyait par les yeux de son compagnon et malgré qu’il se referme sur lui-même ressentait une partie de la morsure de la lame sur ses chaires.
Elle voyait des images du passé qui devait appartenir au vampire, d’autres moments où il avait du faire de même, des moments proche dans le passé et des épisodes qui paraissaient beaucoup plus lointains.
Elle n’eu pas le temps de lui poser de questions qu’elle se sentait partir, c’était à peu près la même sensation que lorsqu’elle se dématérialisait en brume, et n’en fut pas dérangé, ce qui ne serait peut-être pas de même pour tous…

Tarnotah ne dit rien quand Blodseng lui transmit le Glyphe, même s'il pensait qu'il aurait peut-etre mieux valu garder son sang et ses forces. Mais cette magie pouvait s'avérer être d'un grand secours, alors il laissa faire.

Il s'était largement préparé à ce combat, et il arrivait enfin. Il avait toujours une certaine apréhension, mais essaya de ne pas y penser. Il ferma les yeux et se laissa enporté par la magie pour se retrouver dans le cimetière...

HRP : J'ai édité mon post précédent pour dire que finallement je prenait mon bouclier, comme blod l'a vu sur moi... (même si avant je ne l'avait aps...)(toujours le plus fort blod Wink

) //

† Mastor † Nombre de messages : 424 Date d'inscription : 13/10/2004

La disparition des membres fût quasi-instantanée, transportés en moins d'une seconde après l'apparition d'une brûme sombre, grisonnante et écarlate à le fois. Le silence fît place, guardant pour seul perturbateur les jures du hurleur.

Un scintillement perca le brouillard presque dissipé du bar, accompagnant la chute d'un objet de métal criculaire qui vînt tomber sur le sol. La lumière se réflétait étrangement sur le métal aux apparences lisse et sans aucun défault, marqué de glyphes qu'une faible lueur rouge faisait apparaître.

Un léger murmure se figea dans la pièce, comme dans les murs, répêté encore et encore comme une incantation inconnue, dont la voix était étrangement familiaire.

La brume emporta tout le monde. Seul restait au sol un objet scintillant. Le Hurleur ne s'en approcha pas, car il avait encore en mémoire une triste expérience avec un objet magique...

L'air vibrait encore de l'incantation qu'il avait mémorisée pour la répéter aux suivants.

L'incantation était quasi hypnotique.

La salle était vide.

Le Hurleur se choisit un perchoir correct (une chaise) et décida de s'assoupir dans l'attente de la venue d'un nouveau BEGON.

Il s'endormit rapidement, et dans ses rêves il voyait un étrange lieu avec une grotte et un cimetière...

Il est temps…..Il est temps….Il est temps de quoi ?

Confucius le regard noir dévalait les couloirs du Begon en ruminant cette question, cherchant à tout prix à lui donner un sens, une réponse….

Il entra pour la première foi dans la salle de réunion, scrutant chaque partie de la pièce…
L’atmosphère était particulière, un son à peine perceptible, un chuchotement venait de nulle part et aiguisait la curiosité du Démon…
Soudain, Sur le dossier d’une chaise qui lui servait de perchoir…Un Perroquet a demi endormi semblait luter pour préserver son équilibre.

Confucius amusé par la scène n’eu que peu d’égard pour l’animal, en avançant dans la pièce, le chuchotement, le murmure bien que discret devenait plus perceptible…

Soudain le démon aperçu un objet de métal criculaire qui gisait sur le sol. Une lumière se réflétait étrangement sur le métal…
Le Démon avança vers l’objet , se pencha comme pour le toucher et…….Disparu.

Darkgoth était resté à l’écart de toute la scène masquant sa présence à tous et pour une fois pensait avoir réussi à tromper la vigilance du grand Blod. Mais ce dernier ne l’avait il réellement pas perçu ou avait il agi de façon à le forcer malgré lui à les suivre ? Ou savait il que quoiqu’il arrive il suivrait sa douce afin de la protéger malgré elle des dangers qu’elle allée encourir…

Il avait utilisé le temps de sa réflexion pour incanter quelques armes qui pourraient servir. D’abord il incanta Zamatel. La lame d’un feu puissant seigneur démoniaque d’antan. C’est lui qui avait œuvré contre toutes les créatures qui avaient été jugé contre nature de l’époque. Ses runes brillaient d’une puissante et inquiétante aura. Repoussant tout mort vivant et encore plus les buveur de sang. Toute entité refoulée par la mort, toute entité n’ayant réussi à accéder au repos éternelle pour quelque raison que cela soit. Espérant que son incantion avait réussi et que l’esprit des runes se rendrait compte que Blod et Amélia sont des leurs.

La deuxième arme incantée qui était une armure fût Eractok. Cette armure mythique porté par kiltomur, le grand chasseur de lycans. Aucune de ses créatures mi-homme mi-garou ne réussirent à l’abattre quand il portait cette armure. Cette puissante pièce annulée l’aura maléfique que la lune avait sur ces entités. La rune de l’éclipse était gravée en plein centre du plastron de cette armure de plate complète.

Il se résigna aussi à prendre un médaillon, banal chapelet au quel il transféra une puissance considérable afin de repousser et détecter tout nécromancien, démoniste ou élémentaliste à plusieurs mètres de distance.

En tout cas après un temps de réflexion écourté par l’acte de Confucius le démon se décida à rejoindre les autres membres du BEGON.

Il s’approcha lentement de l’objet, passerelle vers l’antre. D’un pas lent mais déterminé il s’en rapprocha toujours plus. Plus la distance entre lui et l’objet diminué plus il ressentait la puissance de l’objet. Ce dernier irradié d’une puissance phénoménale. Alors qu’il allait le saisir une étrange et inquiétante brume s’en dégagea, enveloppant partiellement plis complément le démon afin de ne disparaître sans laisser de traces du démon.

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