Ballade en forêt !

Une nuit d’hiver, une forêt humide éclairée par une lune aux reflets doré, le vent soufflant dans les feuillages d’immenses arbres vieux de quelques millénaires, le tout cachés derrière une fine brume, et un silence, à en mourir d’effrois.

Orokum marchait seul, depuis un moment déjà, il sentait ses pieds s’engourdir, ses membres devenir de plus en plus lourds, et son ventre gronder…
Cela faisait huit jours et neuf nuits qu’il marchait dans cette forêt interminable, et pas l’ombre d’une âme qui vive. Rien à se mettre sous la dent…
Si seulement son métabolisme lui permettait de dormir, pourquoi fallait-il qu’il n’ait besoin que de quelques minutes de calme pour être en pleine forme ?! N’aurait-il pas pu dormir un peu, pour faire autre chose que marcher ?! Ces quelques minutes de calmes justement, il les lui fallait, l’épuisement le gagnait, et il avait besoin d’arrêter de marcher. Il observa les alentours, toujours la même vu, des arbres, des arbres et encore des arbres.
Quelques nuages d’une légère brume à un mètre de hauteur commençaient à se dissiper sous l’effet du vent.
Il lui fallait s’arrêter. Il se dit donc en lui-même :

*Le jour se lève, il va falloir trouver un endroit ou s’abriter, les quelques minutes de repos qu’il me faut m’ont déjà coûtées la vie, il ne faut en aucun cas que cela se reproduise.*

Il s’assit donc dans le creux d’un énorme tronc d’arbre, et recouvrit l’entré de branchages.
Ainsi à l’abris, il pu aisément se reposer, sans pour autant fermer les yeux. Quand il était vraiment fatigué il entrait dans une sorte de transe, il était conscient mais son corps ne réagissait plus à ses directives. Il lui fallait simplement attendre que son métabolisme soit suffisamment reposé pour continuer. Chose faites après une vingtaine de minute.
Son corps, ayant retrouvé toutes ses facultés, réagissait à nouveau.
Le démon sorti du tronc, et à peine eu-t-il le temps de se relever, qu’il vue des branchages bouger, et un humain s’enfuir. Une aubaine après des jours de jeune.
Il se lança donc à sa poursuite, bavant déjà à l’idée de goûter à nouveau de la chair humaine.
L’humain courrait vite, très vite, tellement vite qu’il fallu à Orokum plusieurs minutes pour le rattraper, et constater qu’il s’agissait d’un homme seul, assez jeune et aussi perdu que lui.
Aucune pitié pour cette race, le démon avança vers l’humain, avec la bonne intension d’en faire son repas.
Les deux êtres se trouvaient maintenant à quelques mètres l’un de l’autre.
L’humain affaibli par sa course folle frappa le premier, en vain, ses coups de hache arrivaient à peine à égratigner la peau énormément dure du démon. Celui-ci affamé mis fin à ce combat pitoyable en prenant entre ses énormes mains la tête du jeune homme, et en serrant de plus en plus fort. Des cries de douleurs résonnaient dans la forêt, déchirant le silence, et s’en suivie un énorme craquement…
La tête de l’humain explosa sous l’étreinte d’Orokum et le sang recouvrit le visage du démon, qui laissa échapper un rire cruel et vil. Il prit son temps, et dégusta goulûment chaque membre et chaque viscère, s’abreuvant du sang frais !
Une fois son festin finit, il continua à marcher, il ne rester plus que des traces de lutte, et une marre de sang sur l’herbe verte de la forêt. Orokum, rassasié se dit que cette journée ne commençait pas si mal, quand tout à coup, il entendit un bruit d’aile dans son dos, et à peine eu-t-il le temps de se retourner, qu’un ange armé d’une épée divine sauta sur lui. Ils roulèrent à terre, avant de s’écraser contre un arbre.
Se relevant avec peine, les deux ennemis se regardèrent pendant quelques courtes secondes, puis Orokum sauta sur l’ange, lui amochant un énorme et violent coup de griffe que celui-ci para à l’aide de son épée…
L’ange attaqua à son tour, décochant des coups monstrueux sur le démon, qui réussi malgré tout à esquiver le premier, puis à se protéger à l’aide d’un tronc d’arbre coupé, qui se brisa en mille morceaux sous la puissance de l’épée. Un avantage pour le démon car l’ange n’avait pas l’habitude de son arme, et il se sentait déjà fatigué, des gouttes de sueur coulées le long de ses joues, et sa respiration se faisait de plus en plus bruyante. Orokum attaqua à nouveau, un coup violent mais mal contrôlé, qui laissa à son ennemis le temps de se baisser.
L’arbre derrière l’ange fût touché, et se brisa en deux, tombant de façon à séparer les deux adversaires…
La fatigue de l’ange était grande, et il préféra se retirer doucement, tandis que le démon le regarder partir, prés à lui sauter à la gorge, ce qu’il ne pu faire, à cause d’un héros, en armure étincelante, qui s’approché au galop sur le dos d’un cheval.
Orokum ne pris pas le temps de réfléchir, le premier coup était donné, à hauteur d’épaule, un violent coup de griffe fit gicler le sang du cheval, qui s’écrasa au sol, laissant son cavalier chuter, et heurter violement un énorme tronc d’arbre.
L’ange ne devait pas être loin, il fallait faire vite, le démon s’approcha du cheval allongé au sol, éventré…

*Tu ne sers plus à rien toi*

Il leva son pied, et l’abattit avec une extrême violence sur le crâne du cheval, qui explosa aussitôt. Se rapprochant de l’homme, il vit qu’il était inconscient, après une chute pareille, il ne devait pas être très résistant. Orokum regarda autour de lui, pour être sur de ne pas être dérangé, et écrasa doucement la poitrine de l’homme dont les cottes se brisaient une à une.
Mais, par manque de chance, un autre héros fit son apparition. Ses buts restés indéterminés, en effet, il portait sur son dos, un cadavre humain, embroché sur une lance ensanglantée.
Il s’approcha du démon, d’un air sur de lui, et s’arrêta à quelques mètres, contemplant avec un visage sans expression, l’humain au sol.
Ce combat promettait d’être plus passionnant que les derniers.
Orokum se dressa de toute sa hauteur, prenant une posture de défit. Il n’allait quand même pas se laissait intimider par un simple humain.
Les deux adversaires se regardaient sans mots dire, et chacun attendaient une attaque de l’autre…

Après quelques minutes d’attente Orokum marcha doucement vers le cadavre du cheval, tout en faisant face au héros, torse nu, les cheveux plaqués en arrière, sa lance sur l’épaule.
D’un geste des plus brusque, le démon arracha une patte au cheval, et planta ses griffes dans le mollet de manière à s’en servir de masse d’arme, grâce au poids du sabot.
L’humain n’avait pas bougé, il était resté la, sans signe de vie.
Orokum s’approcha de lui sans hésitations, le dévisagea et envoya un coup monstrueux de sa nouvelle arme dans la tête de l’humain qui, surpris, n’eu pas le temps de réagir et allât s’écraser contre un arbre.
La bouche explosée, le nez fracturé laissant couler deux rivières de sang, un morceau de la joue déchiré, pendant sur le côté du visage, l’humain trouva la force de se relever.
Il se tenait droit, sa lance avait quitté son épaule pour venir se planter au sol à quelques mètres de lui. Le démon dans son élan était déjà sur l’humain et envoya un deuxième coup de sabot de manière verticale, sur l’humain qui n’eu encore une fois pas le temps de réagir.
Le coup n’étais pas très violent, mais le crâne de l’humain s’était quelque peu fissuré, et du sang ruisselé le long de ses cheveux noir. Cette fois, il n’était pas tombé, il avait réussi à rester droit, se courbant quand même un peu sous l’impact.
Orokum, décidé à détruire une telle arrogance, porta nouveau un énorme coup, partant de droite, allant vers la gauche.
L’humain attentif cette fois ci, malgré ses blessures, voulu esquiver le coup en se baissant…

Les gestes du démon était devenu précis face à une menace éventuellement grande et ce geste la, le héros n’eu aucun moyen de l’éviter.
La patte du cheval tenu à deux mains par Orokum passa au dessus de l’humain baissé, mais le démon lâcha l’arme, libérant sa main droite, pile au dessus du héros, et tandis que la masse d’arme continué à avancer dans le vide tenu par sa main gauche, le bras droit d’Orokum se plia et un coup de coude d’une violence extrême vint s’abattre sur le dos nu et courbé de l’homme. Celui-ci cracha des litres de sang dans son premier cri de douleur.
La violence du coup lui avait brisé la colonne vertébrale, et il était resté la, étendu, le visage plaqué au sol.
Orokum le mis sur le dos, la regardant agoniser, il aurait pensé à un combat plus dur, plus éprouvant, ou à un héros plus robuste.
Seulement trois coups avaient suffis à l’immobiliser…
Mais, il n’était pas encore mort, c’était le principal !
Le quatrième coup fut plus délicat, le pied du démon enfonça doucement les cotes de l’homme, jusqu’à se qu’une d’entre elle cède sous le poids, dans un bruit de craquement terrifiant. Orokum leva son pied de la poitrine de l’humain pour constater qu’un morceau d’os brisé ressortait du thorax, déchirant la peau du torse.
L’humain avait du mal à respirer, et du sang noirâtre coulant de sa blessure prouvait que son foie avait été touché.
Orokum pris du recul, regardant son ennemi, meurtri, incapable de se défendre…
Avait-il encore une chance de survis ?!
Le démon s’en contre foutait, pour lui, il n’était qu’un morceau de viande, rien de plus.
Mais oui, il pouvait survivre, et même se battre encore !

Sans attendre une réaction, Orokum se dirigea vers l’autre héros toujours inconscient…

Il s’approchait doucement de l’homme inconscient sur le sol, et eut à peine le temps de regarder son visage endormi qu’une flèche se planta net dans l’œil de celui-ci, faisant gicler le sang du héros, sur le sol verdâtre. La flèche venait de l’autre, c’était certain, mais pourquoi ?! Pourquoi un humain en tuerait un autre, alors qu’ils sont tout deux agonisants devant un démon ?! Un tir manqué ?! Pour lui éviter les souffrances ?! Pour simplement faire chier le démon ?! La raison en fut inconnue. Orokum eut à peine le temps de se retourner pour voir une deuxième flèche s’enfoncer dans le corps étendu du malheureux. Aucun doutes possible, les coups étaient bien trop précis pour avoir manqués leur cible, si il avait s’agit du démon. En se retournant Orokum vit le héros assis contre un arbre, une énorme arbalète à la main. D’où pouvait-il la sortir ? Où l’avait-il cachée pendant tous ce temps ? Aucune importance, le tout était de l’empêcher de tuer cet homme, car c’était quand même là, le plaisir du démon. Il ne restait qu’une flèche au héros et Orokum n’avait toujours pas bougé, tellement sa surprise était grande. Cette dernière mal tirée arracha l’oreille de l’homme avant d’aller se planter dans un arbre au loin ! Plus de moyen pour le héros de le tuer à présent, il était bien trop loin, et sans armes, c’était impossible. Il réussit néanmoins à mettre la main sur sa lance, plantée non loin de lui, mais la réservait cette fois à son agresseur, comme l’ultime tentative pour le toucher !
La lance fut décochée à une vitesse impressionnante, et le démon se demandait comment ce héros, meurtri, trouvait encore la force de faire ça. La lance allait très vite, fendant le vent sans un bruit, mais pas assez vite pour effrayer Orokum ! D’un geste d’une rapidité déconcertante, son bras frappa la lance, pourtant à quelques centimètres de son corps, qui se brisa en centaine de morceaux de bois, ne causant autre chose au démon qu’une sueur froide. A la vue de sa dernière tentative ratée, le héros se laissa tomber sur le sol, sans même chercher à s’enfuir. Peut-être avait-il accepté son destin.
Voyant ça, Orokum retourna vers notre inconscient à demi mort, une flèche dans le crâne…
Il lui parla calmement prenant le temps d’articuler tous ses mots :

Toi tu n’as vraiment pas de chance aujourd’hui, tu es sur le point de mourir sans même avoir pu te défendre. Vous les hommes, êtes si pitoyable, si faible, et pourtant si orgueilleux, avec vos armures, vos paroles futiles et votre prétention immonde ! Vous me dégouttez tous autant que vous êtes, vous êtes bien tous les mêmes, vous mourrez donc tous de la même façon !

Après ces mots, Orokum arracha la flèche plantée dans le crâne de l’humain, qui avait miraculeusement survécu à un tel coup, et pris son visage ensanglanté entre ses deux énormes mains. Dans un soupçon de cruauté, le démon, à l’aide de son pouce, fit exploser l’œil restant de l’homme, avant de lui broyer la tête entre ses mains dans un bruit de craquement plus terrifiant encore que le premier.
Contemplant le corps, Orokum laissait apparaître dans ses yeux, une lueur de satisfaction.

Il se tournait maintenant, presque au ralentie pour garantir un effet de frayeur, vers le dernier héros encore en vie !
Un sourire sadique apparut sur visage du démon…

Il pris un élan considérable, avant de courir vers sa victime et de lui envoyer un énorme coup de pied dans le ventre, le projetant ainsi à quelques mètres en arrière. L’élan était trop beau, et dans la même foulée un deuxième coup de pied, terriblement puissant, envoya valser dans les airs le corps de l’humain qui tournoyait telle une marionnette, laissant échapper des litres de sang, avant de se briser sur un tronc d’arbre ! Le héros était bien solide, celui-ci réussit à se remettre debout, tenu sur ses jambes tremblantes, à la grande surprise d’Orokum.
Le démon s’approchait de nouveau, et l’humain eu une réaction plutôt inattendu.
Il se mit à prier… Orokum pouvait entendre des paroles futiles et inutiles et comprit tout à coup !

Il tente une attaque ???!!!

Quelle surprise, après tant de coups reçus, que celui-ci trouve encore la force de se battre…
Quels effets auraient donc ses incantations humaines ?! Pas le temps de se poser la question, que la réponse fut donnée, la pointe de la lance brisée du héros, s’envola dans les airs, et fonça à toute allure sur le démon.
Celui-ci esquiva au premier passage, puis s’appuyant à un arbre, se baisa, esquivant une deuxième fois l’arme qui se planta dans le bois pour ne plus jamais en ressortir !
Pendant les quelques secondes qu’il avait fallu à Orokum pour esquiver la pointe, l’humain avait tenté une fuite ! Mais ses blessures mortelles ayant raison de lui, il s’était écroulé à quelques mètres du démon, qui le rejoint aussitôt.
Il prit l’humain par la peau du torse complètement arrachée, le soulevant ainsi du sol, et lui amocha un énorme coup de tête qui enfonça dans le visage, le nez déjà démoli de celui-ci.
Son visage était recouvert de sang, ses yeux avaient virés sur le coté, sa langue pendait part le trou béant de sa joue et ses cheveux collés par son propre sang, venaient se plaquer sur son front à demi arraché. Le démon s’amusait de la situation, penchant le corps à droite, laissant la tête frapper sur l’épaule, et retournait la situation vers la gauche pour l’effet inverse !
Pour être sur qu’il ne dirait plus d’incantations, Orokum attrapa les cheveux de l’homme de la main droite, la tenant ainsi suspendu, et sa langue pendante de sa main gauche.
Le regard cruel du démon croisa celui du l’humain terrifié.
D’un coup sec, la langue fut arrachée, et une giclé de sang aveugla le démon qui dans son sadisme n’avait pas voulu fermer les yeux pour mieux voir souffrir le héros.
Celui-ci en profita pour placer ses dernières attaques. A bout de force, quasi-mort il attrapa un caillou qu’il lança de toutes ses faibles forces au visage du démon. Le caillou frappa Orokum, et retomba sur le sol. Mais le démon n’y fit même pas attention tellement la charge était minime…
Dans une dernière tentative l’homme se jeta sur son adversaire le faisant basculer en arrière, et se frapper la tête contre une racine. La première et dernière fois que Orokum fut blessé par cet humain qui se trouvait maintenant allongé sur le corps du démon…

D’un coup d’une violence inouï, le démon projeta dans les airs, le héros à demi-mort.
Celui-ci s’envola à quelques mètres du sol, avant de retomber sur le sol sans chercher à atterrir sur ses pieds. Un bruit sourd, un corps qui s’écrase sur la terre recouverte de mousse de la forêt, soulève un petit nuage de poussière verdâtre.
Orokum s’étant relevé, arrache un énorme tronc d’arbre mort du sol, et vient le faire exploser sur l’humain, qui crache ses dernières gouttes de sang dans des cries de moins en moins fort.
Le démon regarde le héros, fier de lui. Un simple coup de pied suffirait pour l’achever !
L’humain étendu au sol, mis avec ses dernières forces, ses mains dans les poches de son pantalon…
C’est une position bizarre pour mourir, se dit le démon.
Mais ces intentions n’étaient pas de mourir, bien au contraire, dans sa main droite maintenant sortie de sa poche, l’homme tenait une arme à feu à deux coups, qu’il réservé sûrement pour une occasion très spéciale ! ! !
Il la pointa dans la direction du démon, et appuya sur la gâchette. En vain, celui-ci esquiva laissant l’arbre derrière lui, se faire dépecer de son écorce qui vola en éclat sous l’impact de la balle. Une balle en argent… Orokum compris alors pourquoi l’humain ne l’avait pas utilisé avant. Mais pas le temps de se poser d’autres questions, l’autre coup partit à son tour, mais au mauvais endroit, et la balle se perdit dans le lointain de la forêt, laissant derrière elle une odeur de poudre, et un léger sifflement.

A se moment la, l’homme sorti sa main gauche de sa poche…
Il tenait un bout de cuir noir, un blason, sur lequel était inscrit les mots : Sceau des enfers…

NON, commence est-ce possible ?! Cela ne se peut pas ! Je suis en plein délire.

Orokum fixait le blason, sans comprendre, sans réagir, l’étonnement fut si grand, qu’il provoqua une paralysie chez le démon.
L’humain, recula doucement, dans un reste de force, tenant le blason droit devant lui, comme pour se protéger avec.

Comment a-t-il pu l’obtenir, je suis certain qu’il ne l’avait pas au début de notre combat !
Vais-je me laisser duper par cette stratégie douteuse ?!

De nombreuses questions traversé l’esprit du démon, il ne réalisé pas encore se qui se passait, mais était sur d’une chose, cela ne s’arrêterait pas la !!!

Les questions trop nombreuses, faisaient mal à la tête du démon, et il ne voulait plus en entendre. Sans réfléchir, il se jeta sur l’humain, l’écrasant de tout son poids, avant de lui enfoncer un coup de tête dans le nez, faisant voler en éclat les os du crâne, projetant du sang sur plusieurs mètres à la ronde, écrabouillant avec violence un cerveau tout chaud et collant.
Ce coup de tête monstrueux clôtura le combat, et Orokum, après avoir contemplé son chef d’œuvre, continua après une courte pause, à marcher…
En route, il rencontra plusieurs anges, combattant contre un démon au visage familier…
Sa route se poursuivrait donc en compagnie de celui-ci. Et tout deux sortirent de la forêt, laissant derrière eux, un vrai carnage digne de démon de se nom !

Orokum se retourna une dernière fois pour contempler le soleil se coucher derrière les arbres vert, faisant briller au plus profond de la forêt, des flaques de sang, collés sur quelques troncs…

(HRP// Voila, c'est déjà la fin ) j'espere que cela vous a plus, je pense ne pas en refaire avant les prochaine vacances scolaire , mais apres, ca repartiras !!!)